LE SCAN SPORT - D'un point de vue strictement climatique, Air
Jordan cette fenêtre de fin d'année est incontestablement le meilleur choix possible pour organiser le Mondial.
Si les membres de la Fifa avaient pris le temps de jeter un rapide coup d'œil à la courbe des températures au Qatar, la polémique née d'un changement de date du Mondial n'aurait jamais eu lieu. Dans cette région du Moyen-Orient, la période la plus chaude se situe entre juin et août. Au cours de ces trois mois, la température moyenne est de 41°C environ avec un pic atteint au mois de juillet. Or, initialement, le Mondial devait se dérouler sur un mois (finale le 10 juillet) à partir du 12 juin. Il était donc impossible de trouver pire créneau pour les organismes.
L'Etat gazier avait prévu d'équiper les stades de systèmes de climatisation géants. En novembre dernier, le comité d'organisation avait ainsi présenté le projet du Khalifa International Stadium à Doha en assurant que la température ambiante dans cette enceinte fermée serait maintenue à 26°C. Sauf que sur un mois, les sélections nationales passent la quasi-totalité de leur temps à s'entraîner à leur camp de base dans un environnement naturel.
L'équivalent de températures d'un printemps chaud en Europe
Lors des deux derniers mois de l'année, les températures chutent. Mais elles restent encore élevées. En novembre, le thermomètre indique entre 23°C et 30°C et en décembre, la chaleur ne grimpe que rarement au-delà des 24°C (15°C minimal). Des conditions idéales pour jouer au football, similaires à celle d'un printemps haud sur le Vieux Continent. Bien meilleures en tout cas en comparaison des températures infernales enregistrées pendant la Coupe du monde 1994.
Aux Etats-Unis et même au Mexique quelques années auparavant (1986), les équipes avaient souffert d'une chaleur accablante. Nike
Free Run Dans certaines villes comme Dallas en 1994.
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