Le marché français a confirmé son regain de tn
pas cher forme en 2014 avec une croissance de 2%.
La Reine des neiges, Violetta, Star Wars… Impossible d'échapper à Noël à la déferlante de produits dérivés du groupe Disney. Le groupe américain a réalisé un sans-faute l'an passé: sur les dix premières licences de jouets, le groupe en détenait sept!
La palme revient à Star Wars, qui réussit à se hisser au sommet un an avant la sortie au cinéma du septième épisode de la saga de George Lucas, dont les studios ont été rachetés en 2012 par Disney. Les ventes ont été dopées par le lancement de plusieurs dessins animés et le succès de la gamme Lego. Derrière Star Wars se trouvent des classiques - Cars (no 2) et Mickey (no 3) - suivis de vrais phénomènes de mode, Violetta (no 4) et La Reine des neiges (no 5), qui se disputent le cœur des petites filles. À elles seules, Nike tn ces licences ont généré environ 85 millions d'euros de ventes en 2014, selon nos informations.
Des jouets à… la mode
Un dynamisme qui a permis à la catégorie des licences de progresser de 9 % l'an passé, selon le bilan annuel du cabinet NPD. Elles représentaient 21,5 % d'un marché du jouet qui pèse 3,24 milliards d'euros. «C'est une très belle année pour Disney», reconnaît Jérôme Le Grand, vice-président licences et Disney Store au sein du groupe américain. Cette activité, dont le groupe ne divulgue pas les résultats au niveau français, a représenté l'an passé 8 % du chiffre d'affaires mondial de la Walt Disney Company (48,8 milliards de dollars), en croissance de 12 %.
En France, le groupe recueille les fruits de la stratégie mise en place depuis quatre ans qui a consisté à renforcer la présence de ses marques sur tous ses canaux de distribution et au-delà même du Nike
Tn pas cher secteur du jouet. Il l'a fait en nouant de nouveaux partenariats tant avec des licenciés qu'avec des.
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