La Banque centrale européenne doit se Nike TN
Requin prononcer sur un programme de rachat de dettes d'État inédit en Europe pour tenter de relancer la croissance en zone euro. Des salles de marchés au FMI, sa décision est très attendue.
Le monde entier aura les yeux rivés sur la conférence de presse de Mario Draghi, à Francfort, ce jeudi, à l'issue de la réunion du Conseil des gouverneurs de la Banque centrale européenne. Il s'agit bel et bien d'une réunion historique. Pour la première fois de son existence, la BCE sera appelée à se prononcer sur un programme massif de rachat de dettes d'État pour tenter de relancer la croissance en zone euro.
Dans le jargon des banquiers centraux, on parle de «d'assouplissement quantitatif» ou «quantitative easing» en anglais, ce qui donne «QE» en abrégé. Largement utilisée aux États-Unis, au Royaume-Uni et au Japon, cette technique de politique monétaire est assimilable à la «planche à billets» car en échange des titres achetés, la Banque centrale crée de la nouvelle monnaie. Le «QE» n'a jamais été utilisé en zone euro, Nike Tn
Requn Pas Cher car cet instrument flirte avec le financement monétaire des États, strictement interdit par le traité de Maastricht, ce qui perturbe beaucoup les Allemands.
La pression sur la BCE est non seulement maximale, mais elle obéit à des vents contraires, entre d'un côté les réticences allemandes et de l'autre les pressions des marchés et des pays de la périphérie de la zone euro, qui misent sur la dépréciation de l'euro pour se relancer. Les courants les plus puissants viennent des marchés, toujours avides de nouvelles liquidités. Ils espèrent une action de la BCE, rapide et la plus massive possible. Nike
TN Pas Cher Ils s'attendent à des rachats de dette allant de 500 à 700 milliards d'euros. Si la BCE ne mettait pas de plafond à son action.
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